or qui dit la rose au cristal (pour une merde de verdure)
tu velours au ras du Visage
qu'étrangle-t-il sinon son miroir-âme
pour le fleurir d'une tombe au fleuve de toutes eaux
dedans les braises du coeur dit il
faux mystiques louant mains blanches d'édifier
et le verre à turban jaune rosé de 5 heures louant
ailes d'allégeance nuages de clémence
sous-oeuvre d'édification cette verdure
marchant à sauuts mastiqués comblée de misère et cordes
quel haut verbe nous tient le sang ha sang!
tout cequi t'affecte m'affecte...
tout histrion se répète
pour l'après-sommeil du flux
et les jeux d'idéologie(....)
Khalid Dinia,extrait de son recueil "Hybrides"
C'est très fort! Très codé! Le rythme est saccageant! Les allitérations en "r", l'anagramme d'où sort "ha sang!".. je sens que c'est un poème très engagé dans la rage des" sous-oeuvre s " d'ici bas! Et l'histoire des allégeances qui se répète...et les jeux d'idéologie...J'aime les suggestions raffinées par les doigts du poète délicatement inspiré!
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