désir gorgé d'ifs savants en la demeure très divine
dictames brumeux d'une nuit capable de toile
j'enlace vos tumultes écoute vos oublis
je rêve vos froidures disrtait vos fronts
ébats appesantis d'hommes ombrés d'ivresse
mers dolentes d'une lettre rouge de parer
je peuple vos célébrations lis entre vos fabulations
j'implore vos silences vibre à vos certitudes
heure encombrée d'étoiles pâlement laboureuses
je darde l'oeil austère d'une pénombre qui médite
palémones berceurs d'heures susceptibles de baver
je berce l'origan diseur d'un orage qui se moque
meubles féconds en amertumes bien vulnéraires
je foule l'agiter d'un faire qui se défait
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire