samedi 17 décembre 2011
dimanche 20 novembre 2011
vendredi 18 novembre 2011
jeudi 3 novembre 2011
La Grâce confisquée: MAIN
La Grâce confisquée: MAIN: blanc jus sortant d'entre les lobes secoué de son séisme qui sur la reine des fracasseuses fi...
MAIN
blanc jus sortant d'entre les lobes secoué de son séisme
qui sur la reine des fracasseuses fit descendre courroux sur courroux
en prix qu'elle fut longtemps rouge d'un rouge franc
j'en jure par l'adhérence des aubes par l'heure de l'éléphant
misèricordieuse sera toujours ta main feu calomniateur doué de detour
main qui jures par ses innombrables baisers une attente de 1002 z-ans
tous vers toi en la déchirure d'âme font fort belle oraison
poètes araignées examinées troupeaux génisses filles du Sage etc...
main incomparable astre gros de ténébres lançant ses dards tt-puissants
toi qui m'as donné belles pour labour seins pour lit sexes pour abri lèvres
pour vêtement
toi qui m'as donné l'abject liquide pour obscurcissement ultime
et les compagnons de la Droite
je percerai la nuit de l'écrit inconnaissable et la Table aux lentes étoiles
main gauchement sourde quand sur moi les psalmodieuses t'interrogent
réponds muette à l'appel de qui m'investit quand il m'investit
réponds aveugle aux souffleuses sur les noeuds de bien jadis
par les 7nuits absolutrices et les 7feuilles dévorées qui t'environnent
quelle goutte nous distait jusqu'à ce que l'aurore ait visité la lampe
qui sur la reine des fracasseuses fit descendre courroux sur courroux
en prix qu'elle fut longtemps rouge d'un rouge franc
j'en jure par l'adhérence des aubes par l'heure de l'éléphant
misèricordieuse sera toujours ta main feu calomniateur doué de detour
main qui jures par ses innombrables baisers une attente de 1002 z-ans
tous vers toi en la déchirure d'âme font fort belle oraison
poètes araignées examinées troupeaux génisses filles du Sage etc...
main incomparable astre gros de ténébres lançant ses dards tt-puissants
toi qui m'as donné belles pour labour seins pour lit sexes pour abri lèvres
pour vêtement
toi qui m'as donné l'abject liquide pour obscurcissement ultime
et les compagnons de la Droite
je percerai la nuit de l'écrit inconnaissable et la Table aux lentes étoiles
main gauchement sourde quand sur moi les psalmodieuses t'interrogent
réponds muette à l'appel de qui m'investit quand il m'investit
réponds aveugle aux souffleuses sur les noeuds de bien jadis
par les 7nuits absolutrices et les 7feuilles dévorées qui t'environnent
quelle goutte nous distait jusqu'à ce que l'aurore ait visité la lampe
lundi 17 octobre 2011
Glossolalie II
désir gorgé d'ifs savants en la demeure très divine
dictames brumeux d'une nuit capable de toile
j'enlace vos tumultes écoute vos oublis
je rêve vos froidures disrtait vos fronts
ébats appesantis d'hommes ombrés d'ivresse
mers dolentes d'une lettre rouge de parer
je peuple vos célébrations lis entre vos fabulations
j'implore vos silences vibre à vos certitudes
heure encombrée d'étoiles pâlement laboureuses
je darde l'oeil austère d'une pénombre qui médite
palémones berceurs d'heures susceptibles de baver
je berce l'origan diseur d'un orage qui se moque
meubles féconds en amertumes bien vulnéraires
je foule l'agiter d'un faire qui se défait
dictames brumeux d'une nuit capable de toile
j'enlace vos tumultes écoute vos oublis
je rêve vos froidures disrtait vos fronts
ébats appesantis d'hommes ombrés d'ivresse
mers dolentes d'une lettre rouge de parer
je peuple vos célébrations lis entre vos fabulations
j'implore vos silences vibre à vos certitudes
heure encombrée d'étoiles pâlement laboureuses
je darde l'oeil austère d'une pénombre qui médite
palémones berceurs d'heures susceptibles de baver
je berce l'origan diseur d'un orage qui se moque
meubles féconds en amertumes bien vulnéraires
je foule l'agiter d'un faire qui se défait
Désir d'or
ce qu'un or désire à peine est cqui palpite ange
entre ange carrière après l'autre je
nais en retard avec des words je nais au
poème comme à ses mystères
( "Un poème est un mystère dont
le lecteur doit chercher la clef ." )
je naîs mémoire qui perce de travers
je naîs maintenant et plus tard
je naîs moi en ton reflet
je naîs au creux du courant
in appelé mais
épave d'une eau rongée
entre ange carrière après l'autre je
nais en retard avec des words je nais au
poème comme à ses mystères
( "Un poème est un mystère dont
le lecteur doit chercher la clef ." )
je naîs mémoire qui perce de travers
je naîs maintenant et plus tard
je naîs moi en ton reflet
je naîs au creux du courant
in appelé mais
épave d'une eau rongée
mardi 4 octobre 2011
rêve
ici dans ton exil
dans ta prison
tu te réconcilies avec
l'enfant de tes flancs
avec l'avant-étant
o palmes de phénix
ici dans ton exil
tu te mues en tes signes
o ruse d'illuminé
dans ta prison
tu te confonds o miracle
avec les briques fantastiques
du livre inécrit
dans ta prison
tu te réconcilies avec
l'enfant de tes flancs
avec l'avant-étant
o palmes de phénix
ici dans ton exil
tu te mues en tes signes
o ruse d'illuminé
dans ta prison
tu te confonds o miracle
avec les briques fantastiques
du livre inécrit
l'onde
l'onde nous imprime sur l'herbe ailée flamme
héraldique brisures stimulées
la gerbe nous aligne sur la lame sondeuse étincelle
sans stigmates ni stylite
me signe d'un héros la mate cicatrice la brise
nous inscrit sur le verbe d'une bulle évocatrice
m'énonce le figuier graveur le songe nous griffe
sourcier de magies de figures
le graphe nous laboure sur un sillage coursier
de race rêveur au rouge tatouage
me hume boueux le chiffre l'alumine nous irrigue
sur l'écume où humorale bouge une trace
cette hachure dure qui m'illumine cure de silex où
s'engouffre un bleu qui suggère qui m'irise
héraldique brisures stimulées
la gerbe nous aligne sur la lame sondeuse étincelle
sans stigmates ni stylite
me signe d'un héros la mate cicatrice la brise
nous inscrit sur le verbe d'une bulle évocatrice
m'énonce le figuier graveur le songe nous griffe
sourcier de magies de figures
le graphe nous laboure sur un sillage coursier
de race rêveur au rouge tatouage
me hume boueux le chiffre l'alumine nous irrigue
sur l'écume où humorale bouge une trace
cette hachure dure qui m'illumine cure de silex où
s'engouffre un bleu qui suggère qui m'irise
centrefuge
pareil au gri
moire des nar
rations lugubres
pareil à l'(
absolu inconnu
inn) ommé
pareil à l'
(homme
sans verge
oiseau
sans queue)
pareil enfin
à ma mère
beaucoup plus
qu'à tous mes
moi décentrés.
moire des nar
rations lugubres
pareil à l'(
absolu inconnu
inn) ommé
pareil à l'
(homme
sans verge
oiseau
sans queue)
pareil enfin
à ma mère
beaucoup plus
qu'à tous mes
moi décentrés.
manu scriptus
ghiwane sans litham ma nuit
nuit sans litière enturbannée de pilums
je vomis mon iris dans l'hespéris de ta tombe
hybride coupé de smalas d'opaque
hybride figé o grottes du colosse entre fuseaux de lunes
un delta de purpura roule dans mon bras datura de roulis
coule mieux qu'une horde d'ombres
dans ma lugubre uvée à pleins bords
dans ma tête crève
nuits sans voiles parmi les schistes
nuits en bandoulière du cygne chanteur
ha!nouba du cygne que s'obstine le repos de ma nuit
ha! écumes cheveux d'îles en flammes versatiles
ghiwane des sables d'azalées des ksars têtus
tous oueds lézardèrent dans l'azimut de mes artères
toute mort passa par là
liberté mon autre soupir
ha!ce sang de l'an en sourdine
nous vêtirons nos voix de vive inallégeance
o lèvres sans nuit allergiques aux fuseaux
liberté mon autre soif
ha! votre cher dire ce stupide sabir
nos pâmerons nos gorges de sonores guignols
entre les doigts cendrés o sacre commandeur
samedi 1 octobre 2011
grille ouverte sur l'errance
vitrées entrouvertes sur les grèves d'hiver
aiguisons nos rêves sur ler prolifiques horizons
vitrées entrouvertes sur les voiles de l'aventure
relevons nos pèse-coeurs contre toute mort
vitrées entrouvertes sur la clameur des vagues
dans la transe un libre champ aux vagabonds cavaliers
vitrées entrouvertes sur la vadrouille ô terrains d'alunissage
dans la vigueur gondées ces rumeurs de corps châtrés
vitrées entrouvertes sur les rives utérines
o différence miracle d'épaves de flagrants écorché
vitrées entrouvertes sur les vents d'exil
o vérandas marchant au rendez-vous de toutes terres.
aiguisons nos rêves sur ler prolifiques horizons
vitrées entrouvertes sur les voiles de l'aventure
relevons nos pèse-coeurs contre toute mort
vitrées entrouvertes sur la clameur des vagues
dans la transe un libre champ aux vagabonds cavaliers
vitrées entrouvertes sur la vadrouille ô terrains d'alunissage
dans la vigueur gondées ces rumeurs de corps châtrés
vitrées entrouvertes sur les rives utérines
o différence miracle d'épaves de flagrants écorché
vitrées entrouvertes sur les vents d'exil
o vérandas marchant au rendez-vous de toutes terres.
vendredi 16 septembre 2011
Glossolalie
or qui dit la rose au cristal (pour une merde de verdure)
tu velours au ras du Visage
qu'étrangle-t-il sinon son miroir-âme
pour le fleurir d'une tombe au fleuve de toutes eaux
dedans les braises du coeur dit il
faux mystiques louant mains blanches d'édifier
et le verre à turban jaune rosé de 5 heures louant
ailes d'allégeance nuages de clémence
sous-oeuvre d'édification cette verdure
marchant à sauuts mastiqués comblée de misère et cordes
quel haut verbe nous tient le sang ha sang!
tout cequi t'affecte m'affecte...
tout histrion se répète
pour l'après-sommeil du flux
et les jeux d'idéologie(....)
Khalid Dinia,extrait de son recueil "Hybrides"
Glossolalie
or qui dit la rose au cristal (pour une merde de verdure)
tu velours au ras du Visage
qu'étrangle-t-il sinon son miroir-âme
pour le fleurir d'une tombe au fleuve de toutes eaux
dedans les braises du coeur dit il
faux mystiques louant mains blanches d'édifier
et le verre à turban jaune rosé de 5 heures louant
ailes d'allégeance nuages de clémence
sous-oeuvre d'édification cette verdure
marchant à sauuts mastiqués comblée de misère et cordes
quel haut verbe nous tient le sang ha sang!
tout cequi t'affecte m'affecte...
tout histrion se répète
pour l'après-sommeil du flux
et les jeux d'idéologie(....)
Khalid Dinia,extrait de son recueil "Hybrides"
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